3 novembre 2005
Moroni
Je voulais aller dans le sud et/ou dans l'est de Grande Comore mais un lever tardif associé à un manque de motivation flagrant me fit rester à nouveau à Moroni que je n'appréciais pourtant pas. Il fallait préciser que les difficultés de transport liées au ramadan (rares taxis-brousses de fait, archi-bondés et dangereux) ne m'incitèrent pas à bouger pour (je le subodorais) ne pas voir grand-chose d'extraordinnaire sur cette île volcanique aux paysages arides et lunaires. Aussi, je traînai ma misère dans les rues de Moroni le matin comme le soir, en m'ennuyant ferme. Grande Comore avait été une parenthèse un peu spéciale que je n'avais pas franchement aimée mais qui me marquait néanmoins inexplicablement.
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