Pas grand-chose à dire sur cette journée de transition si ce n'était que j'avais toujours autant les "pétoches" en avion et que l'on ne changeait pas une équipe qui perdait car j'arrivai à Chengdu en plein mois de novembre écossais à savoir sous un ciel bas et gris à pleurer...
Il y a une joie revigorante dans le seul fait d'avancer. Car ce n'est pas tant le fait d'aller "là-bas" qui compte, mais le fait d'aller, le seul fait d'avancer...